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Rejoignez l’Association Française des #Décideurs du #Digital

C’est la crise, nous entendons ca toute la journée. Mais malgré tout il y a de nombreuses initiative pour créer de l’émulation dans le secteur du digital, l’association francaise des décideurs du digital en est une très intéressante. Son objectif ? il est simple : favoriser la croissance du digitale bien sur ! mais également l’emploi !

Henri Ruet – Association des Décideurs du Digital

L’association française des Décideurs du Digital (3DFRANCE) réunit toutes les parties prenantes concernées par la transformation digitale au service de l’activation de la croissance et de l’emploi par le digital (le numérique).

Son parrain et président d’honneur : Jean-Michel Billaut  (Président chez Broadband, Fondateur de l’Atelier BNP Paribas, Chevalier de la légion d’honneur et maintes fois récompensé pour son engagement dans le numérique français)

C’est sur la proposition de Jean-Michel, qui devait en prendre originellement la présidence, que Henri Ruet a été élu président avec une équipe (Cédric Chabal, SG et Frédéric Léger, Trésorier) mais surtout sur un programme, cela dans les locaux de Me Gérard Haas le 17 avril dernier.

Mission : Favoriser la croissance digitale et l’emploi

Comment ? Les décideurs du digital visent à une interconnexion généralisée des réseaux existants en créant des liens et des passerelles afin de se faire parler l’ensemble des acteurs majeurs concernés par l’écosystème digital et décloisonner les acteurs, les pratiques et les expertises.

La philosophie qui sous-tend cette démarche est l’idée selon laquelle il faut briser les logiques de silos qui prévalent : autrement dit, favoriser la mise sous tension et l’inclusion du maximum d’acteurs dans le circuit afin de produire des retours d’expériences partagées efficients, générer des expertises transverses utiles et consistantes et,  au final, créer de la valeur permettant d’être en avance de phase tout en aidant à identifier et lever les freins du digital en France.

Par quels moyens ? Des rencontres, des afterworks, des dîners-débats avec des experts etc. Et aussi, des groupes de travail autonomes – les practices – dont la mission est de faire travailler ensemble toutes les parties prenantes d’une chaîne de valeur sur une question clé. Chaque travail des practices est médiatisé lors d’un colloque annuel.

Exemple : la practice Digital Jobs qui intègre des chasseurs de têtes, des experts, des DRH, des patrons de Jobboards. 

Toutes celles et ceux qui ont une volonté claire de s’engager concrètement pour satisfaire la mission initiale. Cela passe par du temps (bénévolat 2H par semaine à 2H par mois minimum), du travail  (practices) de l’argent (dons) ou toute autre ressource permettant de remplir les objectifs de l’association.

association des decideurs du digital

Parmi ses membres fondateurs :

Par ailleurs, les 1 200 membres du groupe Linkedin à l’origine de l’association se verront proposer de passer du virtuel au réel via l’association et ses antennes en province ou à l’étranger.

Une association à part

Union Web est une fédération d’associations concernées par le Web, l’EBG est un business club, l’IAB une association professionnelle consacrée à l’e-pub, l’AFDEL défend les intérêts du digital en France, le GESTE celui des intérêts des éditeurs en ligne etc.

Il n’y pas en France d’association transverse et indépendante qui dialogue avec les autres associations de l’écosystème comme va le faire 3DFRANCE : nous sommes un méta-réseau qui vise l’inclusion du maximum de parties prenantes directement ou indirectement concernées par la transformation digitale dans une logique de favoriser la croissance digitale et l’emploi en levant le maximum de barrières et de freins.

Association des Decideurs Digital, intervention JM Billaut

Nous n’avons pas d’équivalent en France. 

A la limite, si on devait vraiment nous mettre dans une case,  nous ressemblons un peu à ce que fut Croissance Plus à l’origine, sauf que nous sommes clairement orientés par et pour la croissance digitale et que nous ne nous limitons pas à n’intégrer que des chefs d’entreprises.

Pour résumer, nous avons un triple ADN original : 

– Meta-network / hyper-connecteur : notre mission première est de mettre sous tension le maximum de parties prenantes concernées

– Pas un think tank de plus mais un do tank : grâce aux practices, groupes de travail transverses et auto-gérés qui intègrent l’ensemble d’une chaîne de valeur concernée par une question clé, y compris les autres associations concernées (Ex : l’IAB pour l’évolution de la publicité…)

Une cause fondamentale : la promotion in fine de la croissance et de l’emploi digital en impliquant le maximum de parties prenantes concernées par la transformation digitale.

Global mais d’abord local :

Nous pensons aux 3DFRANCE que le digital ne se limite pas à la capitale. Nous avons donc mis en place une politique d’essaimage en réseau décentralisé – comme le WWW –  pour que chaque ville puisse avoir son association locale toujours dans le but d’inclure le maximum de personnes.

Déjà, fortes de leur connaissance de l’écosystème local, des personnes à Lille, Nantes et Lyon se sont spontanément proposées pour relayer l’initiative.

Des négociations sont en cours aux USA et en GB. 

Du moment que chaque association adhère pleinement aux statuts, à la charte d’indépendance politique et religieuse et de bonnes pratiques, au RI, il est proposé une patente en retour.

Pour adhérer, il suffit de faire acte de candidature sur le futur site de l’association.

Cotisations :

  1. Etudiants et en recherche d’emploi : 25 €
  2. Personnel : 50 €
  3. Start-ups, associations, administrations : 300 €
  4. Sociétés : 700 €

Nous sommes un réseau : nous sommes contre l’élitisme et toute récupération. Nous souhaitons la croissance digitale car nous pensons que c’est l’un des rares leviers facilement activables pour les 10 prochaines années. Or nous constatons que des pans entiers de l’économie sont encore sur le rebord de l’autoroute digitale, que des gens sans emplois pourraient être formés, que de la richesse pourrait être créée, cela par une volonté de travail à la fois sur le terrain (local) et dans une logique transfrontalière (global) en se faisant parler et en sensibilisant le maximum de personnes ayant le pouvoir de lever des freins.