Face aux risques digitaux, les marques s’organisent


Plus que jamais, l’image est un élément-clé de la marque et sa valeur. Une image qui, dans le grand bain du digital, n’a jamais autant été exposée aux risques de se voir écornée.

fraude emarchand web escroquerieC’est le cas par exemple en matière de campagnes publicitaires display ou vidéo (affichage dans le contexte de fake news, de scandales ou encore d’actualités violentes…), mais également d’usurpation d’identité de la marque (email frauduleux, site falsifié…).

Ainsi, selon les résultats du second semestre 2017 du baromètre IAS de la qualité média digitale, si la visibilité des campagnes display s’établit à un bon niveau : 57,1 % d’impressions visibles et à 77,6 % pour les seules publicités vidéo, 7 % des premières ont été diffusées dans un contexte risqué, 9 % en vidéo. Des chiffres qui atteignent même 11,2 % d’impressions risquées en matière d’achats programmatiques.

Quant à l’usage frauduleux de la marque (et de son image d’ailleurs), il est devenu l’un des principaux vecteurs de la cybercriminalité : à lui seul, 5 500 internautes tombent dans le phishing, qui fait jusqu’à 2 millions de victimes par an, selon le Forum international de la Cybersécurité. Tandis que le cybersquatting et la contrefaçon sont tout autant de risques pour l’image des marques.

Comment les marques peuvent-elles assurer leur protection digitale ? Quels indicateurs et outils mettre en place ? Les internautes sont-ils « condamnés » à courir des risques sur Internet ?

Il existe des solution de lutte contre l’usurpation d’identité des marques en ligne, tel que Brandsays.

Des spécialistes de la protection de la marque d’IAS, leader dans l’optimisation de la qualité média digitale autour d’indicateurs tels que la visibilité, la fraude, la brand safety… peuvent également vous aider.

Ne négligez surtout pas ce genre de fraude et pensez que cela n’arrive pas qu’aux autres.

 


 
 

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